Par conséquent, à travers nos recherches, réflexions et analyses, nous savons que l’aspirine et le paracétamol agissent sur notre organisme de manières différentes. Les deux molécules possèdent toutes les deux des effets secondaires, moins important pour le paracétamol expliquant son utilisations abondante en France contrairement à l’aspirine présentant des effets plus dangereux. L’aspirine a des effets secondaire principalement sur la coagulation du sang, l’appareil rénale, le système nerveux, tandis que le paracétamol n’agit de manière néfaste seulement sur le foie ou peut-être sur le taux de cellules sanguine selon une récente thèse. L’aspirine et le paracétamol agissent aussi sur d’autres substances ce qui leur permet d’avoir des propriétés analgésique, antipyrétique et anti-inflammatoire (pour l’aspirine). Les deux molécules inhibent la production de la même substance, la prostaglandine. Néanmoins, il n’inhibe pas les mêmes enzymes (COX-1 et COX-2 pour l’aspirine et COX-3 pour le paracétamol). De plus le paracétamol agit au centre du système nerveux par l’inhibition de la sérotonine. Si le mode d’action de l’aspirine est connu, la molécule pourrait avoir des remèdes « miracles ». En effet, une étude britannique publiée le vendredi 28 octobre 2011 dans la revue internationale The Lancet, confirme les précédentes recherches sur les effets protecteurs de l’aspirine contre le cancer colorectal, voire même sur des cancers du côlon.